Paul rejoint l’approche de Picasso, qui notait : «chez moi, un tableau est une somme de destructions ; je fais un tableau, ensuite je le détruis : mais à la fin du compte rien n’est perdu. Le rouge que j’ai enlevé d’une part, se trouve quelque part ailleurs ».
« La lumière doit venir du dedans. Vous ne ne pouvez demander à l’obscurité de partir, vous devez allumer les lumières. La peinture surpasse toute oeuvre humaine par les subtiles possibilités qu’elle recèle. » Léonard de Vinci.